Ma nouvelle voisine est une petite nana belle comme un coeur, un véritable cachou que j’ai immédiatement rêvé de mettre dans mon lit. Autant dire que j’ai tout fait pour favoriser les relations de bon voisinage en l’aidant à finir de s’installer. Je sentais bien que je ne la laissais pas indifférente non plus.

N’ayant pas de perceuse, elle m’a demandé la semaine suivante de poser un tableau au mur. Vous vous doutez bien que j’ai accepté. A ma grande surprise, ce n’était pas n’importe quel tableau et là, nous ne parlions pas d’un champ de lavande. Il représentait une fille nue attachée avec des cordes. Il n’était pas pornographique, c’était réellement de l’Art mais quand même assez troublant.

• J’aime beaucoup ce tableau, c’est du BDSM élégant, de l’érotisme pur. L’artiste a su exposer son regard quémandeur plutôt que son corps. Tu aimes ? M’a demandé Manon une fois que son tableau fut accroché.

• Oui, il est magnifique et ne me laisse pas indifférent du tout, je l’avoue.

Manon m’a aussitôt proposé un café pour me remercier tout en continuant de me parler de ces tableaux que l’on peut voir dans des galeries et qui dévoilent un peu les inspirations sexuelles des auteurs. Sans en avoir l’air, elle me sondait en me demandant ce que je préférais dans ce type d’Art. L’ayant vue venir, je lui ai avoué que j’aimais bien ce qui sort de l’ordinaire dans les relations sexuelles. Loin d’être prude, elle a enchaîné en me disant qu’elle aussi et que si elle aimait la tendresse, la sensualité, elle aimait aussi parfois être bousculée en amour.

Le ton utilisé dans sa confidence ne laissait pas de doute, la belle me faisait du pied tout en me regardant avec des yeux de biche très allumeurs. Je me suis rapproché d’elle, pour la dominer en plongeant mon regard dans le sien. Elle n’a pas fuit, bien au contraire ! Après un long baiser elle a pris un peu de recul pour faire la fille qui a peur.

• Je crois comprendre que le grand monsieur a envie de me faire des choses très méchantes.

• Oui, des choses même perverses et sadiques !

Je lui ai répondu ça en me demandant si je rêvais. Pour en avoir la confirmation, j’ai attrapé le bas de son tee-shirt pour le lui retirer. Cette beauté ne m’a opposé aucune résistance, au contraire, elle m’allumait en me disant « je vous en supplie monsieur, ne me faites pas de mal » mais avec un grand sourire.

La chance me souriait, c’était comme si je venais de gagner au loto ! Ce chef d’oeuvre de la mère nature s’offrait à moi comme une victime (consentante) et désirait être bousculée en se faisant sauter. D’un bras je l’ai plaquée contre moi, pour la tripoter comme un sagouin tout en dévorant sa petite bouche me le rendant bien. (La peur sûrement ^^^) Son soutien-gorge dégrafé, je l’ai poussée vers sa chambre pour la pousser sur le lit. Toujours dans son trip, elle a croisé ses bras sur sa poitrine comme pour la cacher. Assis sur ses jambes, je me suis attaqué au bouton de son Jeans puis à la braguette afin de le lui retirer sans tarder. Sa petite culotte est venue avec.

Manon me regardait comme une petite malheureuse sans m’opposer la moindre résistance avec ses yeux de biche et ses cheveux blonds en bataille sur le drap blanc. Je garderai à jamais cette image gravée dans ma mémoire comme sur du marbre. Elle était si belle que cela aurait inspiré le peindre du tableau de son salon.

Lorsque je suis remonté sur le lit pour me coucher sur elle en me plaçant entre ses jambes, elle m’a tendu ses poignets en me disant de les tenir. Je les ai plaqués au dessus de sa tête dans l’oreiller pour la dévorer de bisous tout en malaxant sa jolie petite poitrine bien ferme de l’autre. Au bout d’un moment, l’envie de la consommer sans modération s’est présentée sous la forme d’une érection titanesque dans mon pantalon. C’est là qu’elle m’a indiqué avoir des préservatifs dans le tiroir de sa table de nuit.

Ma première erreur fut de lâcher ses poignets pour ouvrir mon pantalon et enfiler sans tarder le petit capuchon. Elle m’a giflé, gentiment mais quand même, avant de me pincer. En grand sadique, j’étais décidé à me « venger » en lui faisant la misère sexuelle à ma façon. Son petit abricot doux et chaud était très accueillant, traduction, elle était aussi excitée que moi...

Tout en jouant le sadique qui a b u s e d’une jeune femme, je la prenais à mon rythme de joueur pervers. Je burinais comme un malade puis, quand je sentais qu’elle allait venir, je m’arrêtais en allant au ralenti. Manon a commencé à m’incendier quand je jouais à « j’entre, j’entre pas » sur le pas de sa porte. Quelques secondes plus tard, elle essayait de me mordre.

Après un long moment de « bagarre » pendant lequel je faisais tout pour me contrôler, j’ai décidé de clouer la belle à la version thriller. Ma main de libre s’est enroulée autour de sa gorge comme pour l’étrangler et, tout en serrant un peu, j’ai décidé de me laisser aller pour la dernière ligne droite. Heureusement que je connais son voisin (moi) car la belle a eu un orgasme plutôt bruyant. La sentir convulser et se débattre dans son plaisir m’a achevé, là, il est inutile que je traduise, vous avez compris.

Dans les minutes qui suivirent, nos corps ont fusionné tout en douceur, autant en bas qu’au niveau de nos lèvres et mains redevenues câlines. Prestement basculé sur le côté, j’ai laissé le cachou me chevaucher même si Popaul avait décidé que c’était le moment de sa pause syndicale.

Après quelques câlins, la belle m’a dit : « à mon tour » !

« A mon tour » ????

Je me suis demandé ce qu’elle entendait par là quand elle s’est levée pour aller chercher des trucs dans son armoire. Lorsque la pauvre petite princesse martyrisée et intégralement nue s’est retournée, elle tenait dans ses mains une ceinture et des menottes. Je n’ai pas osé résister ni dire quoi que ce soit quand elle a lié mes cuisses avec la ceinture. A la suite de quoi, elle m’a demandé de m’asseoir pour me mettre les menottes mains dans le dos. Là, j’étais nettement moins fier et, quand j’ai essayé de réfuter, elle m’a répondu qu’elle n’avait pas crié au v i o l et ne s’était pas débattue quand c’était son tour.

Que répondre ? (Rien)

Prestement poussé sur le lit, j’ai vu arriver au dessus de mon visage son adorable petit abricot et sa voisine la mignonne rose que j’avais eu envie de prendre dans la foulée. Heureusement que je ne l’avais pas prise car la suite aurait été la même ! Son entrejambe n’est pas resté en l’air bien longtemps, elle me l’a plaqué sur le visage en me criant « travaille esclave, j’en veux encore » !

Si les parfums intimes féminins peuvent m’exciter, après avoir joui ces fragrances me sont nettement moins agréables. Manon ne m’a pas réellement laisser le choix, pour motiver ma langue, elle a planté ses griffes dans mes pauvres tétons innocents. Quelques instants plus tard, j’ai cru qu’elle avait décidé d’être gentille en plaçant son gros magic wand massager sur mon gisant en le bloquant contre mes précieuses.

Ma nouvelle voisine, une petite nana belle comme un coeur est passée de véritable cachou à dominatrice assoiffée de sexe. Elle m’a ravagé le nez et les tétons pour jouir quatre fois tout en m’honorant de ses généreuses sécrétions.

• J’aime beaucoup le magic wand massager mais ta langue était sublime ! M’a dit Manon en éteignant le sextoy qui vibrait toujours sur mon service trois pièces en pleine forme.

• Ravi qu’elle t’ait plu, on fait quoi du menhir en bas ?

• Ben on va le laisser sur sa faim, comme ça, demain, il aura peut-être envie de venir se venger sur une pauvre petite voisine innocente !

• J’aime bien la pauvre petite voisine innocente, je me suis fait croquer !

• Ne te plains pas, j’aurai pu me servir de mon gode-ceinture !

• Heu... je suis neuf de ce côté !

• Cela ne durera pas !

EPILOGUE

Depuis ce jour là, je vais régulièrement « agresser » ma voisine mais je l’attache quand je n’ai pas envie de switcher. Elle m’a proposé que certains soirs, nous décidions à pile ou face qui serait le dom. J’avoue hésiter ... pour l’instant.

Fin

TSM

Note de l’auteur Je me suis rendu compte que je n’avais jamais écrit d’histoire « zéro tique » sur les switchs. Switchs : commutateur en anglais ce qui signifie prendre du plaisir en dominant ou être soumis.

Cette histoire est une pure fiction. N’hésitez pas à dire si elle vous plait et à donner votre avis.

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